Par Diane Nininahazwe,
L'équipe de PAMACC à Lima
La société civile présente à Lima, pour la cop 20 estime que si la 20eme conférence des nations unies sur les changements climatique ne plaide pas assez pour la cause des personnes les plus vulnérable et les plus touchés par les changements climatiques, la 20 rencontre de Lima risque d'aggraver la situation.
"Les négociations sur un nouveau accord sur le climat avance a pas de tortue à cause de problèmes de confiance, mais nous ne serons pas trompés par des techniques ou de procédure artificiels," déclare MithikaMwenda, le Secrétaire général de l'Alliance panafricaine pour la Justice climatique Pan (PACJA ), dont le siège est à Nairobi.
L'équipe de PAMACC à Lima
La société civile présente à Lima, pour la cop 20 estime que si la 20eme conférence des nations unies sur les changements climatique ne plaide pas assez pour la cause des personnes les plus vulnérable et les plus touchés par les changements climatiques, la 20 rencontre de Lima risque d'aggraver la situation.
"Les négociations sur un nouveau accord sur le climat avance a pas de tortue à cause de problèmes de confiance, mais nous ne serons pas trompés par des techniques ou de procédure artificiels," déclare MithikaMwenda, le Secrétaire général de l'Alliance panafricaine pour la Justice climatique Pan (PACJA ), dont le siège est à Nairobi.
Mithika Mwenda fait allusion à ce qu'il appelle incompréhension des pays riches qui semblent ne pas vouloir agir en urgence pour le climat de l'Afrique "c'est dommage que le Japon vient de décider de financer le charbon alors que jusqu'à présent aucun pays riche ne s'est pas encore prononce de façon concrète sur les financements des énergies renouvelables. Ce scenarios prouve que des énergies nuisibles risquent de gagner au détriment des énergies qu'il fallait encourager."
"On nous avait promis que les réductions d'émissions seraient la préoccupation majeure des nations cette année, mais la promesse n'a pas été tenue. Par contre, l'Afrique continue de payer le prix des dégâts causés par les changements climatique alors qu'ils n'y sont pour rien" - Rev. Dr. Tolbert Jallah ,membre du PACJA
John Bideri du RWANDA s'exprimant sur le même thème a de son côté juré que la société civile africaine n'est pas à mesure d'accepter cette situation qu'il qualifie d'injuste
Samson, Samuel Ogallah des panafricaine pour la Justice climatique Alliance, a conclu la conférence de presse en réitérant l'engagement de PACJA de lutter pour l'unité du peuple Africain "L'Afrique doit rester unie et forte, pour defendre son climat."
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